La France et l’Allemagne vont reproposer une taxe sur la finance

18 Déc
bureau

La France et l’Allemagne vont reproposer une taxe sur la finance

D’après les médias allemands, Berlin et Paris chercheraient à ressusciter le principe de la taxe sur les transactions financières au niveau européen. Celui-ci a été effectué par la France et l’Allemagne afin que les États membres puissent réduire leur participation au budget de la nation européenne. Mais quel est leur véritable objectif ?

Des bénéfices pour la contribution au fameux budget de la zone euro

Olaf Scholz ministre de la Finance ainsi que le Maire Bruno doivent proclamer cette fameuse proposition de la taxe sur les transactions financières pendant une réunion qui se tiendra à Bruxelles. Ce rassemblement s’effectuera également en présence de leurs semblables de la zone euro d’après les informations du quotidien bavarois. Selon leur suggestion écrite, la taxe autrement connue sous le sigle anglais FTT pourrait participer à un budget de la zone euro. De ce fait, en guise de cette proposition par ces deux ministres, les pays adhérant auraient le droit de soutirer le produit de la taxe qu’ils réservent grâce à leur écot sur le budget de l’union. Mais, malheureusement, cela n’a pas abouti en bons termes.

drapeaux français et allemand

Un désaccord entre les deux nations sur l’allocation de la taxe

Selon la France, cette proposition aurait la même architecture que celle déjà présente dans leur Pays. En effet, ce serait une taxe qui vise les transactions effectuées sur les actions des entreprises pesant une somme colossale d’environ un milliard d’euros. La Süddeutsche Zeitung proclame alors un désaccord entre les deux nations, d’une part, la France souhaite allouer cette FTT à un budget propre des 19 membres au niveau de la zone euro. D’autre part, le gouvernement allemand souhaiterait privilégier les 27 autres membres.

Une proposition étudiée depuis de nombreuses années

L’idée de cette proposition de taxe est discutée depuis presque 8 ans à Bruxelles sous divers aspects. En plus de sa contribution aux finances publiques, celle-ci est perçue par ses membres comme un moyen de limiter les surplus de spéculation au niveau des marchés financiers. Mais le concept a suscité un grand débat sans aucun terrain d’entente trouvé jusqu’à maintenant.

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